La voie entre Gometz et Limours (essonne)
existe encore à ce jour, mais elle est souvent masquée par
une végetation luxuriante qui depuis trente ans à repris
le dessus ...
A
côté de l'ancien site d'essais de Gometz la ville, l'école
maternelle rend hommage à l'ingenieur Jean BERTIN
La
voie derrière les anciens bureaux du centre d'essais
La pompe à carburant se dresse encore fièrement...
La voie en " T " renversé dans la plaine avant l'arrivée
sur Limours
En
trente ans, la végétation à repris sa place ...
La fin de la voie, 100 mètres environ avant le viaduc de Limours
Dernier virage avant l'aire de retournement, la voie en ' T ' renversée
est toujours dans un bon état de surface
L'aire de retournement juste avant le viaduc de Limours , on aperçoit
au fond le rail béton, l'axe ou se trouvait le rail métalique
permettant un retournement de 360° sur une plateforme en béton
extrêmement plane et lisse...
La voie aérienne de 18 km de long
entre Saran et Ruan avec son centre d'essais à Chevilly est depuis
plus de trente ans toujours existante, et cela encore certainement pour
de longues années...
Cette voie, parallèle à
la voie ferrée entre Paris et Orléans ainsi qu'à la
nationnale 20 sert hélas de support à de nombreux graffitis.
Que faire aujourd'hui de ce viaduc de
béton qui court de Saran à Ruan ?
A l'exception de Saran, les communes
riveraines avaient souhaité, il y a une dizaine d'années,
sa démolition sous la pression des cultivateurs qui cherchaient
à recupérer un peu de domaine agricole. Mais en 1989, le
préfet de l'époque, Paul Bernard, avait répondu que
le ministère des transports s'y opposait pour la bonne raison que
des études étaient toujours "en cour" et que l'on pouvait
être amené à réutiliser une partie des infrastructures
...
La
fin de la voie à Ruan en direction de Paris...
La
plate forme de retournement de Ruan est maintenant utile au stockage des
bottes de foins des agriculteurs...
La voie aérienne à hauteur de Ruan en direction d'Artenay
Le
centre d'essais de Chevilly
De
la plate forme d'essais de Chevilly , il ne reste plus que la dalle en
béton de 5000 m² perchée à plusieurs mètres
de hauteur sur une forêt de potaux
La voie en direction du sud vers Saran
Ce
qui reste de la pompe à kérosène...
Le rail amovible ici en position basse permettait à l'Aérotrain
de se libérer de son rail
Le sytème hydrolique avec ses contrepoids qui permettait au rail
amovible de libérer l'Aérotrain de sa voie
Vue
de dessous du hangar avec ses dalles en béton amovibles : c'est
par ici que l'Aérotrain était hissé dans son hangar
La végétation à repris le dessus...
L'aire de retournement avant la fin de la voie à Saran